La communication par SMS, reste l’atout maitre, pour endiguer l’épidémie de Covid-19
Comme par le passé, avec le Virus Ebola en Guinée, la communication par SMS, reste l’atout maitre, pour endiguer l’épidémie de Covid-19. Que cela soient des SMS simples, ou bien des SMS, basés sur des e-mails, ou de la transformation de mails en SMS, ce type de communication, a l’avantage de sa fiabilité et de sa rapidité.
Le SMS reste le moyen le plus simple, le plus direct et le plus sûr, pour passer une information à tous les publics quels qu’ils soient. Avec des taux d’ouverture et donc de lecture de près de 100 %, c’est aujourd’hui ce qui se fait de mieux sur le marché, de la communication, car il est accessible partout et par tous.
Rien qu’en Chine, selon les statistiques (qui évoluent d’heure en heure), il y aurait déjà plus de 2.550 morts, sans tenir compte de tous les autres morts des continents et pays divers. L’Europe semble pour l’instant moins touchée, même si certains pays, sont plus affectés que d’autres (exemple : l’Italie du Nord, qui compte déjà 5 morts).
L’Organisation Mondiale de la Santé, OMS, devant l’ampleur du phénomène constaté à dénommé la nouvelle épidémie de Virus en Coved-19. Cela ne change rien, mais c’est plus parlant et plus court à écrire.
SMS par email ou mail, la facilité pour communiquer en temps de crise.
Communiquer en temps de crise, sous-entend urgence, et quoi de mieux que de pouvoir diffuser les informations en temps réel, et peu importe l’endroit physique où le récepteur se trouve. Tout le monde de nos jours, dispose d’un simple GSM, suffisant pour recevoir des SMS, parfois des mails ; en toutes circonstances, le SMS est ouvert et lu.
Les mailings SMS, permettent de nos jours, d’adresser en les transformant les SMS par de simples e-mails. Et quoi de plus performant si vous êtes en congés, que ce recevoir de telles informations en temps réel (exemple sur les pistes de ski, les avalanches), où les fermetures de pistes pour raisons diverses, où bien simplement allongé sur une plage, votre portable est toujours à portée de main et de vue.
Clever Technologies, dispose depuis plus de 20 ans, d’une réelle expertise en la matière, et ses outils vous permettront de mieux communiquer, sur tous les sujets.
Son Cleversms ou bien son Cleversms FAT, sont des références dans les monde de la communication multimodale, ajoutant toutes les entrées et sorties possibles, et bien entendu la transformation du mail, en SMS.
Covid-19 en Chine, les morts continuent l’épidémie semble ralentir
C’est courant décembre 2019, que cette épidémie a vu le jour, en Chine, dans la région de Wuhan, Chine Centrale. Il s’agit d’un virus de la même famille que les coronavirus, dont son premier nom 2019-Ncov, puis, Sars-Cov2, puis enfin, le nom définitif fixé par l’OMS Covid-19.
Le départ de l’épidémie a été plus ou moins troublé, les autorités ne souhaitant pas alerter ni alarmer la population, des contradictions flagrantes sont apparues dans les communications officielles. Mais le nombre augmentant considérablement, elles ont été obligées de reconnaître une réalité : Une nouvelle épidémie était bien là.
Mi-Janvier et Surtout Fin Janvier 2020, l’état d’urgence sanitaire a donc dû être prononcé par l’OMS, car l’épidémie se répandait, et la maladie était signalée dans d’autres continents que l’Asie et la Chine, qui continuait de faire des efforts pour enrayer l’épidémie (Toute la Région de Wuham a été rapidement confinée).
Malgré cela d’autres pays Asiatiques, étaient infectés, et l’on a vu notamment plusieurs bateaux internationaux de croisière amarrés aux quais, sans pouvoir descendre aux escales, à cause de l’épidémie.
Aujourd’hui, l’épidémie semble sur le déclin, en Chine, samedi dernier, il a été constaté 397 cas de nouvelles infections, alors que la veille, c’étaient plus de 900 nouvelles infections qui étaient annoncées par la commission. C’est donc un vrai ralentissement, que met en avant la commission chinoise, chargée de communiquer.
Coronavarius, conséquences économiques évidentes
La région et la ville de Wuham, abritent des entreprises de renommée mondiale, qui sont de facto impactées par la crise économique. Des noms prestigieux mondialement connus, comme PSA ou Microsoft sont concernés. C’est l’équivalent d’un PIB, comme celui d’un pays Européen tel que le Portugal, cela démontre si c’était nécessaire l’impact qu’un tel blocage peut provoquer.
Bruno Le Maire, notre ministre de l’économie, estime que l’impact du coronavirus fera perdre à la France entre 30 et 40 % de touristes en provenance de Chine, qui ne peuvent plus voyager. La France qui tire presque 10 % de ses revenus, du tourisme.
L’impact est tel, que le gouvernement français, s’est vu contraint d’aider les entreprises françaises, très pénalisées par cette épidémie, et c’est ainsi qu’ont été annoncées, plusieurs séries de mesures pour que les gestionnaires puissent y faire face. A tel point qu’une réunion d’urgence des banques centrales, a dû être programmée et elles se sont réunies à Ryad, pour mesurer le risque réel que fait peser sur les économies : le Covid-19.
En Italie, le carnaval de Venise a dû être stoppé, avec toutes les conséquences que cela représente, et 11 villes du nord de la péninsule sont plus ou moins à l’arrêt total et en quarantaine.
En Espagne, le GSM prévu à Barcelonne ; global system for mobile communication, salon annuel des professionnels a été purement et simplement rayé et annulé, avec des conséquences importantes au niveau des budgets et investissements pour les grandes entreprises et les PME participantes.
Covid-19, Coronavarius, la réaction de l’Europe, face à la crise (IPCR).
L’union Européenne, dispose d’un dispositif dénommé IPCR (disponible, seulement en anglais, sur le site de l’Union Européenne, merci le multilinguisme, tant pis pour ceux qui ne comprennent pas la langue de Shakespeare).
Cet outil est fait pour permettre à tous les pays adhérents de prendre des décisions rapidement, en les coordonnant au niveau de l’Europe, incluant non seulement les gestions de crise, liées aux épidémies, mais aussi celles liées aux attentats.
Covid-19, Coronavarius, la transmission de l’épidémie.
Il est reconnu, mais des doutes subsistent, que l’épidémie ne se transmet que par contact direct. Exemple lorsque l’on éternue ou bien lorsque l’on touche quelqu’un. Mais le pire n’est jamais certain, et il suffit à quelqu’un de toucher un objet infecté pour se retrouver malade à son tour, puisque forcément il portera ses doigts à son visage, ou a sa bouche, en s’infectant à son tour.
Enfin, personne n’a trouvé d’explications, du pourquoi certains malades sont infectés, alors qu’ils ne sont pas allés en Chine, ou non pas croisé de chinois. Ainsi, le patient zéro est toujours recherché en Italie, et personne ne peut fournir d’explications cohérentes à son sujet, et cela inquiète bigrement l’OMS.
En Chine, ce serait un petit animal le P angolin qui semblerait être l’un des hôtes amplificateurs….. Hélas en Chine, le marché aux animaux est une triste réalité, et les seuls avantages de cette épidémie est d’avoir fait connaitre au monde entier la région de Wuham, et le trafic de toutes les espèces de Pangolins.
Pour des raisons ignorées par les « ignares européens », toutes ces petites espèces d’animaux à écailles, présentent des intérêts pour les chinois qui nous dépassent. C’est ainsi que sont organisées dans les grandes villes des marchés vantant les vertus thérapeutiques de certains animaux, dont les pangolins en font partie, sur certains marchés vivants, ils seraient vendus jusqu’à 5.000 €uros.
Ces petits mammifères de la famille des Manidae, dénommés aussi, (enrouleurs) ou « pengguling » en référence à leur façon de se défendre comme les hérissons, avec leurs poils ou écailles, ils existent depuis des lustres, dans les régions tropicales et sub tropicales (Asie et Afrique), mais ce sont probablement les animaux, les plus braconnés au monde. Le commerce illégal n’a pas de limites.
Le braconnage de ces espèces, est tel, qu’une journée mondiale leur a été accordée, il s’agit de tous les 3èmes samedi de chaque mois de Février. Hélas pour ces petites bêtes, et bénéfice pour tous les « braconneurs », dans le pagolin tout se monnaie ou se mange, intérieur ou extérieur. Ces petits animaux sans défense, sont des proies faciles à attraper et à tuer, par des gens sans vergogne.